Abrasif : Aimable, tu connais ? Non. Et cela devient très clair lorsque l’on fraye aux cotés de l’épouvanteur. Brut de décoffrage, il ne s’embarrasse pas des convenances. Il n’hésite pas à exprimer le fond de sa pensé, certains diront qu’il manque de tact, lui vous affirmera simplement qu’il va droit au but.
Dévoué : Corps et âme - à sa profession, évidement. Il a vécu épouvanteur, il mourra épouvanteur ; rien ne saurait changer cela. Cette dévotion est totale, si bien qu’il fait souvent preuve d’un zèle déconcertant quand il s’agit de remplir ses missions, mieux vaut ne pas se trouver sur sa route.
Escroc : A la guerre comme à la guerre. On ne survit pas dans les bas-fonds de Xanthes en étant
honnête. Il intégra très rapidement une bande de vauriens locale et en profita alors pour apprendre des meilleurs. Vol, raquette, chantage, tout y est passé. On aurait pu se dire que le fait d’être recueillit par un maître allait gommer ces travers, mais c’est mal connaître ce dernier. En ressortit un goût indéniable pour les manigances et les sales affaires ainsi qu’un sens moral questionnable - si ce n’est inexistant.
Hypocrite : Faites ce que je dis, pas ce que je fais. Voilà qui colle parfaitement au personnage. Dans son combat contre les ténèbres, Reinhardt n’hésite pas à combattre le feu par le feu, allant parfois jusqu’à manquer de se brûler. Voilà un point que le Conseil des Douze lui a toujours reproché.
Observateur : Rien ne lui échappe. Son sens de l'observation est l'un de ses plus grands atouts. Son regard d’aigle est redoutable, lié à sa lucidité froide et clinique, tout est constamment analysé, observé sous toutes les coutures pour enfin être assimilé et utilisé.
Sans scrupules : La fin justifie les moyens. Quand Reinhardt a un objectif, il s’y tient ; il n’est pas du genre à laisser ses sentiments se mettre en travers de son chemin, dans son corps de métier, c’est un luxe qu’il ne peut se permettre. Dès il s’agit de mener une mission à bien, aucun sacrifice ne saurait le stopper. Pas de demi-mesure lorsque l’on combat les forces du mal. «
Cruelle nécessité … »
Volcanique : Tu m’touches, j’te bouffe. Par le passé son naturel ardent faisait qu’il suffisait d’un rien pour déclencher sa colère, néanmoins les années ont quelque peu tempéré cette impulsivité néfaste. Il n’en est pas devenu atone pour autant, non, loin de là ; il a su conserver cette intensité animale qui le caractérise tant. Seuls les grandes gueules et les incapables viennent à bout de cette patience acquise, mais en règle générale, il vaut mieux eviter de l’irriter.
PARTICULARITÉ NAWAKIENNE : Il sème le mauvais sort mais ce sont les autres qui récoltent la tempête. Il ne fait pas bon de frayer avec Reinhardt si vous souhaitez avoir la chance de votre coté, il porte la poisse comme personne. Le pire, c’est qu’il vit ça plutôt bien.
ANECDOTES : Il a prit sous son aile onze apprentis. Neufs sont à présent actifs voire gardiens, les autres sont morts avant d’achever leur formation.
✣ Il craint les rousses comme la peste.
✣ Il ne s’est jamais borné à exercer ses activités d’épouvanteur. Il se fait plus souvent payer en services ou en provisions qu’en monnaie sonnante et trébuchante. De fait, il a très tôt élargi son champ d’action et n’hésite pas à servir de fournisseur pour des marchands de reliques ou d’autres curiosités exotiques ; certain disent qu’il traine même dans la contrebande.
✣ Il sait jongler.
✣ Setrakian n’est pas son véritable nom - fils de la rue, il n’a pas hérité d’un patronyme - il a prit ce dernier sur conseil de son maître afin de paraître plus digne de confiance.
✣ Abandonnée aux éléments et aux jeûnes à répétition, sa face creusée, ravinée, semble avoir vieillit prématurément.
✣ Il a conservé de ses jeunes années un goût prononcé pour le vol à la tire. Mais il pratique cette activité que très rarement, juste assez souvent pour ne pas perdre la main.
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NIVEAU D'ÉTUDES : Il a bien évidemment achevé sa formation. En plus de cela, son maître a su lui inculquer le maniement de l’épée, discipline dans laquelle il n’est pas en reste. Malgré tout, force est de constater que ses derniers temps ses réflexes battaient un peu de l’aile. Il compense cette faiblesse croissante par une ingéniosité aiguisée qui, elle, ne saurait souffrir des affres du temps.
ARMES : Sel et limaille de fer sont contenus dans des sacoches à sa ceinture. Il dispose aussi d’une chaîne en argent d’une pureté respectable ainsi qu’un long bâton en bois de sorbier. Outre cette panoplie d'épouvanteur, une épée en acier et une dague en argent ne quittent jamais son flan.
POPULARITÉ : Précisez simplement si votre personnage est connu par ses voisins, sa race, sur une grande région, par ses ennemis, etc... Pour les
Witches de Mistriel, mentionnez juste le nombre de fois où elle a été Mère Suprême.
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SI J'ÉTAIS: Un objet : Un truc vieux et moche, mais très utile.
Un animal : Un bouc sénile.
Un aliment : Du pain rassis.
Le propriétaire d'un mouton : Alors je serais de facto l’heureux propriétaire d’un méchoui. Un bon mouton est un mouton mort.
Face à un loup-garou : Je serais armé.
Élu Roi : Mieux vaut ne pas y songer.
Coincé dans un placard : Ce ne serait pas pour bien longtemps.
Transformé en casserole : Celle-ci serait, à coup sûr, rouillée.
J'AIME : Ø
JE N'AIME PAS : me retrouver au milieu des goélands - la bière naine - attraper des papillons sur une montagne - faire des expériences - combattre avec une fourchette - découvrir de nouvelles régions - entendre les légendes du monde - faire des tartes - couper les pieds des passants pour leurs chaussures - voir un elfe souffrir - autres
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Qu'on me flagelle en tant que non-validé, c'est pas grave. 
JEFF BRIDGES. NON MAIS C'EST QUOI CE CHOIX DE DINGUE. EN PLUS EN EPOUVANTEUR. 
Je défaille, je, je. 
ET A MISTRIEL EN PLUS. Azy j'aurais trop dit un lien de folie en l'honneur de notre sexyness commune. 
LA BIENVIENDUE ET BONNE CHANCE POUR TA FICHE DONC. 
Pour le coup, c'est génial mais reste loin de moi 
Je plaisante bien sur, j'adore marcher dans la bouse ou tomber dans un champ d'ortie 
